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dimanche 21 novembre 2010

SI FACEBOOK N'EXISTAIT PAS, IL FAUDRAIT L'INVENTER


Est-il vrai que Facebook n'en aurait que pour cinq ans? Personne n'est devin. C'est sûr que celui qui en a l'autorité peut toujours fermer le commutateur à un moment donné si la machine ne fait pas ses frais. Mais, à la base, comme système de communications pour relier les proches, parents et amis, il est assez formidable. Il est interactif, dans la mesure où on est ami avec quelqu'un. Et l'interactivité peut être immédiate, aux secondes près. Il peut aussi servir de bureau de postes électronique. Au pire, on pourrait peut-être en venir à devoir payer pour profiter de Facebook... Mais pas sûr. Car la publicité, encore une fois, pourrait intervenir fortement. En effet, on ne paie pas, par exemple, pour la TV, laquelle est dans tous les foyers. C'est pour le satellite ou le câble qu'on paie. En fait, si Facebook cesse d'exister, un humain va en faire un autre. Parce qu'il appartient à l'humanité et existe en soi, comme l'eau, l'air, la terre et le feu. D'où mon titre: SI FACEBOOK N'EXISTAIT PAS, IL FAUDRAIT L'INVENTER. Il ne s'agirait que de réenclencher un système toujours plus efficient. Les ondes électroniques sont libres. L'ordinateur personnel est bien implanté dans de plus en plus de foyers. On ne peut plus faire marche arrière. C'est impossible! À mon sens, en tout cas. La question qu'on peut se poser, toutefois, est la suivante: se pourrait-il que Google acquiert Facebook? Je verrais ça, moi. Pour plusieurs raisons. Notamment parce qu'on se réfère souvent à Google pour publier sur Facebook, avec Google web, Google images, etc. De sorte que ça devient un tout.

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